mercredi 26 mai 2010
l'histoire n'est pas finie
Et voilà Ilop et ses dromadaires qui cheminent.
Il est tranquille.
Tout est rentré dans l'ordre.
le jeune garçon qui a récupéré les cornes, a voulu, à tout prix, me les vendre.
j'étais heureuse de ma trouvaille,
mais je n'aurais vraiment aucun plaisir à l'acheter.
je suis fâchée par cette insistance
et en même temps je sais que, moi la touriste,
je suis un peu responsable de cet état de fait.
Même si j'essaie d'être discrète et en harmonie avec le pays, ma richesse matérielle est tellement immense à côté de la leur,
comment ne pas comprendre que tout peut être bon à négocier .
Nous approchons des dunes tantôt caressées tantôt fouettées par le vent.
Une petite
silhouette
perdue
dans
le désert,
Anita.
La nuit tombe
le dromadaire
se détache
sur l'horizon.
Ilop et moi près du feu, assis sur le sable tout froid.
Une magnifique journée qui va bientôt finir.
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D'un seul coup, d'un seul, cinq superbes photos ! Tu nous gâtes ! J'ai un faible pour l'avant dernière.
RépondreSupprimerMalgré cette déception passagère que génère un sens du commerce pesant parfois et que l'on peut comprendre, je trouve ce récit très " emballant" malgré la lenteur de la caravane. Tout y est qui m'emporte là-bas, auprès de ce feu de camp, alors que la nuit tombe sur le désert. Magnifique.
RépondreSupprimerAmitiés,
Roger
c'est toi entourée de tout ce sable? prés du feu,c'est magnifique
RépondreSupprimerOlivier, j'aime aussi beaucoup ce dromadaire qui semble monter la garde et les si douces couleurs du ciel.
RépondreSupprimeret puis c'est vraiment l'image de sa solidité et de on calme.
Anita.
Roger, merci de comprendre la lenteur de la caravane et d'y trouver un certain charme.
RépondreSupprimerAnita.
Et oui, Suzanne, c'est bien moi et c'est un moment magique.
RépondreSupprimerAnita.