mardi 2 février 2010

Encore la vie à Pushkar.



Elle voulait à tout prix que je la photographie avec son bébé et m'a ensuite amenée près d'un vendeur de farine à chapatis, certainement de sa famille.

Je l'ai donc suivie dans les rues de la ville; en fait, une rue principale et des quantités de ruelles plus étroites les unes que les autres, où pas un pouce de place n'est perdu.

J'ai vu les tailleurs travailler sur des machines à coudre de différentes époques, les hommes en train de moudre le grain comme il y a 500 ans, les cybercafés...
chaque pas de porte est une boutique, et l'on trouve tout, tissus chatoyants,
sandales, mules brodées,






les marchands

de

charbon

qui le

concassent

et juste

à côté

les vendeurs

de samoussas

et autres

fritures

et les immenses quincailleries qui ont complètement disparu de notre univers, excroissances rutilantes des maisons aux balcons sculptés et aux façades bariolées.





Puis le calme soudain , au bout d'une petite placette, les sadhus heureux de vivre avec le minimum, après avoir élevé leur famille et qui suivent une voie d'austérité, de pénitence pour se libérer et atteindre l'illumination.





Même s'ils mènent une vie très austère," ce ne sont pas des fanatiques car en Inde le renoncement est considéré dans la tradition comme la quatrième étape de la vie de l'hindou après avoir élevé sa famille".
Pour l'hindouisme, la vie de l'individu est composée de 4 étapes.

Cette page du petit livre de Tarun Chopra en fait un résumé assez clair.


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